Pour ceux qui veulent une idée de balade et imprimer le parcours proposé par nos guides.
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Le parcours est décrit et commenté ci-dessous.
Voir fiche explicative sur le mur et la page qui lui est consacrée sur ce site. Il abrita la mairie jusqu’en 1968.
Nom dérivé du mot bretèche, élément de défense en saillie sur la muraille.
Le puits alimentait la ville en eau au Moyen-âge. A cet endroitoù la rue longe le rempart gallo-romain (IIIème siècle), subsistent deux de ses quinze tours.
Nom donné par opposition au « trou du chat » (voir plus loin). Sa partie supérieure fut remaniée
pour être habitée. Lui fait face le témoin de la grande crue de 1840.
Côté nord, grande maison construite sur l’ancienne salle seigneuriale ("Aula") du Château Vieux (« Castrum vetus »).
Au n°4: fragment de stèle funéraire gallo-romaine.
Au sud, chapelle Saint-Cyprien : ancienne église située dans le château vieux.
Voir en bas de page pour plus de détails.
Travaux réalisés en 2004.
Ancienne porte sud murée du rempart gallo-romain encadrée de longues portions de murailles toujours en élévation.
Sur la route de Lyon, après avoir traversé le pont enjambant l’Azergues, se trouve sur la gauche ce bas-relief de la chapelle Saint-Martin emportée par une crue en 1607.
Appellation populaire qui viendrait d'une pierre romaine trouvée à côté avec la mention "CATO", sans doute le final de DEDICATO, mais la population y a vu l'origine du mot "chat". Les trous du chien et du chat ont été percés dans la muraille gallo-romaine pour faciliter la circulation avec la partie médiévale de la cité.
C'était le Saint Patron d'ANSE au moyen-âge ; fêté avec ferveur le 1er dimanche d’août et invoqué comme protecteur des vignes.
Emplacement de l’ancienne porte nord du castrum dont la tour orientale se dresse toujours. A proximité se situait le Four Banal d’Anse, dont l’existence est attestée dès le XIII ème siècle. Renommé pour ses dimensions très inhabituelles, il a été détruit par un incendie en 1858.
Du nom du lieu où le seigneur donnait du pain aux pauvres. A l’angle avec la rue du Château, au 1er étage, présence d’une vierge à l’enfant dans une niche surmontée d’un dais en forme de coquille. En face, témoin de la crue de 1855.
Belle suite de maisons du XVIe au début XVIIIe portant de nombreuses traces de remaniements et réemplois. Au dernier étage du n° 23, présence de consoles de séchoirs à chanvre.
Voir fiche explicative sur le mur. Le clocher incendié lors de la libération d’Anse en 1944 a été remplacé par cette flèche translucide en 2005.
Mairie depuis 1968 (voir fiche explicative sur le mur). Voir également le descriptif de la symbolique des trois pyramides érigées devant l’entrée de la mairie. Au sud, de l’autre côté de la route, subsiste une saillie du rempart médiéval.
A partir du numéro 10, les maisons situées à droite s’appuient contre le rempart médiéval dont il subsiste plusieurs portions.
Construit entre 1877 et 1880, désaffecté en 1985. Actuellement école primaire René Cassin.
Eglise primitive d’Anse implantée à l’intérieur des remparts. La plus ancienne mention connue remonte à 1225. Edifice rectangulaire de 16m X 6m10.
Edifice en pierres blanches de Lucenay.
Fresques peintes sur le mur du fond, période non déterminée.
Désaffectée dans le dernier tiers du XVIIIe siècle, elle servit alors de bâtiment usuel jusqu’à son rachat et sa restauration par la municipalité.
Actuellement salle dédiée à l'exposition des oeuvres présentées par l'association 2CEA.
La chapelle avant sa restauration